Catégorie : Actualités

657 nouveaux petits paradis ! C’est le nombre exact d’îles-barrières qui viennent d’être découvertes par des chercheurs américains. On croyait connaître le monde ? Il a encore bien des surprises à nous offrir…

C’est en menant une étude géographique que des scientifiques de la Duke University et de Meredith College, en Caroline du Nord, ont fait cette étonnante découverte. A l’aide d’images satellites, de cartes topographiques et de diagrammes de navigation, ils ont constaté l’existence de ces bouts de terre jusque là insoupçonnés.

Les îles-barrières sont des bancs de sable ou d’accumulation de sédiments répartis le long des continents. Des lagons ou des estuaires les séparent des côtes. Ces îles sont assez communes : on en trouve le long de tous les continents, mis à part l’Antarctique.

D’après les spécialistes, c’est notamment la basse résolution des images satellites utilisées jusque là qui n’avait pas permis d’identifier les 657 îlots. Qu’adviendra-t-il de ces îles-barrières ? Entre les scientifiques qui veulent les préserver et les resort qui y voient probablement déjà un nouveau terrain de chasse, nul ne peut le prédire pour l’instant.

En attendant, savourons le fait de savoir que notre monde n’a pas fini d’être exploré… une aubaine pour les Christophe Colomb !

Ça va bouger pour les voyageurs ! En ce week-end pascal, Aéroports de Paris et Sony s’associent pour proposer à tous les passagers transitant par Orly des distractions originales qui mêlent sport et jeux vidéo.

Au sud, c’était PlayStation

Entre le 22 et le 25 avril, tous les curieux qui s’aventureront dans le dédale du hall A d’Orly Sud risquent de se retrouver confrontés à une foule d’animateurs dépêchés pour l’occasion, et qui les inviteront à se détendre en attendant d’enregistrer leurs bagages. Sony, firme japonaise pionnière en matière de jeux vidéo, n’en est plus à sa première opération séduction, mais on peut déjà parier que celle-ci retiendra l’attention petits et grands. En effet, si ce n’est pas la première fois que les technologies sans fil s’invitent dans les aérogares parisiennes, le monde du jeu vidéo n’avait auparavant que rarement pris ses quartiers au milieu des tapis roulants, des panneaux d’affichage et des comptoirs d’où les hôtesses d’accueil auront tout le loisir d’observer des situations pour le moins cocasses : nombre de leurs clients se déhancheront plus ou moins habilement, juste avant d’embarquer. Tout ça pour marquer un panier virtuel, viser le centre d’une cible qui n’existe pas ou mettre au tapis un adversaire numérique.

Sport et jeux vidéo : un duo de choc ?

Las de voir leurs enfants affalés sur le canapé familial, la manette à la main, insensibles aux appels et aux stimuli du monde extérieur, maugréant de temps à autre quelques bribes langagières qui restent désespérément incompréhensibles, les parents se réjouiront de constater que l’on peut désormais s’amuser tout en dépensant les calories superflues. Grâce à la nouvelle technologie dénommée PlayStation Move, des milliers d’heureux élus pourront s’adonner à des parties de ping-pong, de volley-ball ou encore de tir à l’arc. Le tout avec les mains presque aussi libres que l’esprit. C’est la magie du sans fil !

Par ailleurs, même l’aéroport d’Orly se prête au jeu. La 3D sera au rendez-vous, avec des séances cinéma en plus des jeux vidéo. Un espace entier sera dédié à l’opération.

Qui aurait pu prédire d’une telle issue ? Les connaisseurs, peut-être. Toujours est-il que pour la deuxième année de rang, San Pellegrino et son eau gazeuse ont déclaré leur flamme à un petit restaurant danois, qu’ils considèrent comme le meilleur de la planète.

Un outsider venu du nord

Il se trouve là où on ne l’attend pas. Noma, établissement situé en territoire danois, est le grand gagnant de cette édition 2011 de l’élection du meilleur restaurant au monde. Sa cuisine nordique, moderne et exclusivement élaborée à base de produits frais, a su séduire le jury. Le chef, Rene Redzepi, 33 ans et déjà une sacrée expérience, est resté discret après cette nouvelle distinction remportée haut la main. Il s’est contenté d’une promesse : celle de continuer dans la droite ligne qui a fait de son bébé un lieu incontournable pour les voyageurs gastronomes. A condition toutefois d’y mettre le prix : on ne badine pas sur la qualité, mais sa contrepartie fait mal au porte-monnaie : au bas mot, c’est 300$ pour un dîner en amoureux.

États-Unis : la quantité avant la qualité

A défaut de truster les sommets du classement, le Nouveau Continent peut tout de même se targuer de posséder pas moins de 6 représentants au sein de ce prestigieux Top 50. Alinea, restaurant de Chicago, se dresse en chef de file d’une délégation qui inclut de nombreux établissements de Manhattan (New York). Une portée a priori sans fausse note, si ce n’est ce bémol qui n’est pas des moindres : dans tous ces grands noms de la cuisine internationale, les repas sont tout simplement hors de prix.

Pour préparer votre séjour gastronomique à Manhattan, notre guide de New York est disponible à la consultation comme au téléchargement. Amusez-vous bien et bon appétit, bien sûr.

Que le grand vainqueur se présente sur l’estrade ! Skytrax n’a pas attendu les prochains Jeux olympiques, ni même le coup d’envoi du festival de Cannes 2011, pour décerner à l’aéroport d’Hong Kong la récompense suprême : le titre honorifique de meilleur aéroport de l’année. Pour l’honneur, donc, puisqu’il n’y a rien à gagner.

Du talent à revendre

Le personnel de cet aéroport international situé à Hong Kong peut s’en féliciter. Son travail de longue haleine a porté ses fruits, pour la huitième fois. Skytrax, après consultation de quelques 11 millions de personnes à travers le globe, a une nouvelle fois donné gagnant un aéroport qui truste le podium depuis 10 années consécutives. C’est dire le niveau des services proposés aux millions de voyageurs annuels, qui ont pour la plupart l’impression de transiter dans une autre dimension, à l’heure d’enregistrer leurs bagages ou de prendre un café en attendant leur vol.

L’Europe : bien, mais pas top

Sur les 240 aéroports passés au crible par Skytrax, les premiers représentants européens (Munich, Amsterdam et Zurich) terminent au pied d’un podium à 100% asiatique. Derrière l’indétrônable Hong Kong, on retrouve deux tigres d’Orient : la farouche Singapour et une capitale non moins téméraire, Séoul. Trois villes qui ont tout fait pour moderniser leurs infrastructures aéroportuaires, du plus simple tapis d’enregistrement aux tunnels d’embarquement.

Dans deux mois, la balle changera de camp, pour le meilleur et pour le pire. Ce sera l’heure de noter les compagnies aériennes ! Alors, traditionnel ou low-cost ?

A Rome, l’été devrait être moins chaud qu’à l’accoutumée. Les jeunes qui avaient pour habitude de passer leurs nuits sur le Campo dei  Fiori, place du centre-ville, sont désormais contraints de revoir leurs plans.

Un verre, bonjour les dégâts

Le jour, Campo dei Fiori est le théâtre d’un magnifique marché aux fleurs. Les touristes y affluent sans discontinuer, bien loin de s’imaginer que la nuit tombée, les terrasses dansantes et les charmants petits étals des commerçants locaux laissent place à une ambiance autrement plus folle. En Espagne, on appelle ce phénomène le botellón. Les jeunes profitent d’un lieu désertée par le grand public, pour arroser leurs soirées jusqu’au bout de nuits qui tournent souvent à la catastrophe alcoolisée.

Regarder derrière soi

La nouvelle génération s’en ronge déjà les ongles. Maire de la ville, Gianni Alemanno a tenu à remettre les pendules à l’heure. Depuis le 1er avril, tous les quartiers dits touristiques sont sous le coup d’une réglementation à faire bondir ceux qui en sont à l’origine : la consommation d’alcool est tout bonnement proscrite, chaque soir jusqu’au 30 juin, de 23 heures à 6 heures du matin. Ceci en réponse à l’agression d’un jeune anglais qui, un peu trop éméché, s’est livré à une partie d’exhibitionnisme en pleine rue. Nul n’étant censé ignorer la loi, les contrevenants s’exposent à des amendes plutôt salées qui, selon les autorités, en dissuaderont une majorité. Assez pour permettre aux Romains de passer un été tranquille.

Préparez vite votre séjour à Rome ! C’est le moment de saisir les dernières offres pour l’été. Bonne visite, avec comme compagnon notre guide de Rome.

A la suite des dernières évolutions de la situation dans le pays, le CETO, Centre d’étude des tours-opérateurs, a annoncé la réouverture aux voyages au Japon à partir du samedi 30 avril. Les circuits seront toutefois aménagés afin d’éviter les préfectures de Miyagi, Fukushima, Ibaraki et Tochigi, les plus touchées par le terrible séisme du 11 mars dernier.
 
L’association précise néanmoins que « ces mesures pourront être modifiées à tout moment en fonction de l’évolution de la situation et dans un souci de l’intérêt de la clientèle, des tours-opérateurs et des agents de voyages. »
 
Malheureusement pour le pays, dont l’économie a déjà été sérieusement ébranlée à la suite du tremblement de terre, du tsunami puis de la menace nucléaire et de leurs conséquences directes et indirectes, cela ne suffira pas à sauver la très haute saison, traditionnellement concentrée sur avril et ses cerisiers en fleurs.
 

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Le Brésil est à la mode, si l’on en croit les chiffres publiés par Embratur, l’Institut du Tourisme brésilien. Plus de cinq millions de touristes étrangers ont visité le pays en 2010, soit une hausse de 7,5% par rapport à 2009. San Paolo reste la principale ville d’entrée, essentiellement pour les affaires, quand Rio de Janeiro et Salvador de Bahia attirent par leurs plages et leur ambiance.

Mario Moyses, président d’Embratur, considère ce résultat comme « très positif, si l’on tient compte de la forte valorisation du real, qui a fait du Brésil une destination plus chère pour les touristes étrangers ». Au mois de février 2010, le Brésil a enregistré des « recettes touristiques internationales de 511 millions de dollars, soit une augmentation de 18% par rapport au mois de février 2009, ce qui correspond au montant le plus élevé pour un mois de février depuis 63 ans. » Un tourisme qui est en effet en constante augmentation depuis 1947 et qui constitue donc un sérieux moteur pour l’économie du pays.

Si les Argentins restent la principale nationalité à visiter le Brésil, les touristes américains, uruguayens, chiliens et paraguayens ont été nombreux également. Enfin, les européens ne sont pas totalement à la traîne, puisqu’ils totalisent 22% des entrées sur le territoire.

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