Japon : on annule son vol ou pas ?

Annuler ou ne pas annuler son vol ? Là est la question. Après le terrible séisme et le tsunami qui ont dévasté une grande partie du Japon le 11 mars dernier, de nombreuses compagnies aériennes ont proposé aux voyageurs d’être remboursés ou de reporter la date de leur prochain départ dans ce pays désormais menacé par les risques nucléaires. Cependant, depuis quelques jours des voyageurs se plaignent sur les réseaux sociaux pour dénoncer des compagnies aériennes qui ne mettent pas en place ces mesures d’urgence.

Japan Airlines

À circonstances exceptionnelles, mesures exceptionnelles. Les compagnies aériennes ont chacune publié les conditions d’annulation, de report ou de remboursement des billets en fonction de l’évolution de la situation au Japon, afin de satisfaire au mieux les voyageurs concernés par cette catastrophe sismique et nucléaire. La compagnie Alitalia par exemple a proposé de rembourser les billets seulement en cas d’annulation indépendante de la volonté du passager ou bien si le vol a plus de cinq heures de retard et cela sur les départs à partir du 26 mars. Concertant les départs entre le 11 mars et le 8 mai 2011 en partance ou en provenance de Tokyo et Osaka, Air France a proposé un report de date, un changement de destinations ou un remboursement des passagers.

Selon plusieurs voyageurs concernés, les compagnies ne respectent pas les mesures annoncées. Pires, elles profiteraient de cette situation pour en tirer profit selon certains qui s’indignent de ne pouvoir être remboursés selon les conditions annoncés sur le site des compagnies aériennes. D’autres élèvent la voix à tort car leur départ est prévu postérieurement à la fourchette de dates pour laquelle un remboursement est possible. Ainsi, beaucoup de mécontents et des compagnies qui essayent de satisfaire des clients au mieux par rapport aux situations sanitaire et nucléaire mal maîtrisées.

D’un point de vue juridique, un passager ne peut exiger d’être remboursé si le vol est maintenu. Les spécialistes du voyage conseillent d’attendre le dernier moment pour voir comment la situation a évolué pour ensuite agir en conséquence. Si le vol est maintenu et qu’aucune mesure commerciale n’est prévue par la compagnie en cas d’annulation, vous ne pourrez pas être remboursé à moins d’avoir pris des billets échangeables ou remboursables.

 

L’Irlande à cheval

Première étape : définir un argument de vente. Pour l’Irlande, celui-ci est tout trouvé : on vous vante tous les mérites d’une nature qui a gardé ses droits et d’un patrimoine national sans pareil.

L'Irlande à cheval

Elle descend de la montagne…

Pour constater de vos propres yeux que le pays des farfadets et des trèfles à quatre feuilles est bien un havre de tranquillité aux reflets verts, pourquoi ne pas traverser le pays à cheval ? Quelle que soit la direction empruntée, toutes les routes vous mèneront vers une Irlande retrouvée, entre les lacs du Connemara et les falaises de Moher au sud, les plages de la périphérie dublinoise, les montagnes de Wicklow, les vestiges celtes du comté de Mayo et les faubourgs traditionnels de l’Ulster.

Plus exactement, pour ses clients avides de découverte et cavaliers émérites, l’agence Gaéland Ashling s’est concentrée sur la région de Clare et a concocté un de ces itinéraires qui vous emmènent au plus profond d’un rêve dont la couleur dominante reste le vert. C’est à peine si les briques rouges des demeures ancestrales ou le bleu de la mer et du ciel alentour parviennent à faire de l’ombre à une flore qui s’épanouit, loin des agressions humaines. Dans le calme des pittoresques collines de Burren, sur les îles d’Aran, jusque sur les petites plages du Lough Graney, pas un chat pour perturber une aventure pleine de charme et de fascination.

Chérie, j’ai mal au dos !

Sillonner les paysages lunaires des Burren n’a jamais fait de mal à personne, quoique le dos ait tendance à souffrir le martyr après des heures de cavale, même au rythme d’une marche hippique, rarement d’un trot. En une semaine, vous aurez le temps de voir venir, mais il faudra ménager votre monture et faire preuve d’endurance. Montrez-vous conciliant vis-à-vis d’un cheval quelque peu réticent à grimper les pentes abruptes de montagnes de Slieve Aughty, il vous le rendra bien. Surtout au moment de s’engager dans les marécages et les tourbières du Lough Derg, d’où l’on aperçoit les vestiges de Holy Island.

Les falaises de Moher

Du gymkhana improvisé

Des passerelles branlantes, des terrains sablonneux et instables, des marécages qui collent aux pattes : pour le jockey comme pour son cheval, ces 8 jours et 7 nuits ne seront pas de tout repos. N’est-ce pas là une rançon à la hauteur de ce qui attend les heureux élus ? Le temps semblerait presque suspendre son cours pour laisser la nature apprivoiser, en toute splendeur, ceux dont elle est la génitrice : les humains.

Si vous ne savez pas de quel côté enfourcher un cheval, ne passez pas trop vite votre chemin : Gaéland Ashling propose également des séjours plus adaptés à votre profil, avec moins d’équitation pour plus de marche à pied. Tout le monde y trouvera son compte, ce qui n’est pas pour déplaire aux nombreux débutants.

Le petit prix qui monte, qui monte

Attention toutefois, les tarifs vous accompagneront dans vos ascensions… pas lors de la descente. Le prix minimum plafonne à 1681€ par personne pour une semaine en juillet / août (1529€ en avril, mai et juin). Les départs s’effectuent de Paris, chaque samedi. Un appareil de la compagnie Air France vous mène jusqu’à Shannon, où votre logement vous attendra, en chambre demi-double, dans un centre équestre. Gaéland Ashling se réjouira de vous fournir plus d’informations, sur son site web ou par téléphone, au 0 825 12 30 03.

Pour ce qui est du guide, il est fourni (et diablement expérimenté), mais ne vous recommandera peut-être pas les meilleurs restaurants et les bars du coin. En complément, consultez-donc le nôtre, de guide ! Pour le reste, nous ne saurions que trop vous recommander cette nouvelle façon de voyager, tout en se référant à cette citation, attribuée au présentateur télé Arthur, alors qu’elle devrait l’être à Nagui : « c’est que du bonheur ».

 

KLM : un DJ dans l’avion

Ils l’ont fait… mais ne sont pas les premiers. Vueling leur est passé sous le nez, il y a déjà quatre ans. Rappelez-vous : en 2007, ces images avaient fait le tour du monde. La compagnie Vueling avait alors affrété un vol nocturne, décollant de Paris Roissy à destination d’Ibiza. Rien d’extraordinaire, à ceci près qu’aux platines, un invité de marque volait la vedette au sempiternel commandant de bord. Se tenait prêt l’un des disc-jockeys préférés des français, étoile montante au niveau international : David Guetta.

Et voici... David Guetta !

Un concept revisité

Le brevet du « DJ set flight » est peut-être déposé, mais rien n’empêche de remettre les playlists au goût du jour. Une compagnie nommée KLM est repartie pour un tour. Ce 21 mars, un appareil a décollé d’Amsterdam, non pas pour rejoindre Ibiza, mais Miami ! Sur ce coup-là, les Néerlandais ont vraiment vu plus loin que le nez de leurs avions bleus. Comme le veut l’adage, mais aussi un certain Philippe Bergeroo, on ne change pas une recette qui marche. Alors, on a plutôt tapé dans l’effectif, renouvelé pour l’occasion. Point de David Guetta, mais deux grands noms de la scène néerlandaise : DJ Sied van Riel et son producteur attitré, Wilco Jung.

Ah, ces jeunes…

A l’origine de cette aventure courte mais intense (seulement quelques heures de vol et donc de plaisir musical), ces deux amateurs de musique électronique, résidents néerlandais, aux oreilles desquels le Spring Break de Miami sonnait comme un passage obligé pour fêter l’arrivée du printemps, mais terriblement déçus de ne pouvoir se rendre en Floride, faute d’une ligne régulière Amsterdam-Miami. Avec le concours de KLM, le défi qui consistait, pour van Riel et Jung, à remplir un avion, a été brillamment relevé. La compagnie batave n’avait originellement prévu de rétablir le trafic aérien vers Miami qu’à partir du 27 mars, c’est-à-dire à la fin du Spring Break. Grâce à une bonne dose de culot et un sacré coup de pub, les deux contestataires sont parvenus à faire avancer cette date au 21 mars !

I'm in Miami (...)

La foule au rendez-vous

Plus prompt que Madonna, plus rapide que les Black Eyed Peas. Il aura fallu en tout et pour 5 petites heures pour faire avion comble. Les médias ont joué leur rôle jusque sur les réseaux sociaux, répandant la nouvelle en moins de deux.

L’ultimatum lancé par KLM exigeait un minimum de 150 clients en pré-réservation après une semaine. Peau de chagrin ou pain béni, toujours est-il que le vol a bien eu lieu avec à son bord des passagers tous ralliés à la cause de la musique électronique et des disc-jockeys qui officièrent durant près de 10 heures d’affilée. Certains privilégiés ont même été invités à prendre les rênes pour quelques minutes, le temps de lancer leur morceau préféré. On raconte que les membres de l’équipage, hôtesses et stewards notamment, malgré toute leur bonne volonté professionnelle, n’auraient pas pu éviter la frénésie électronique, se joignant tour à tour à la fête.

Addiction ou lubie, chacun appréciera ou non ces avions reconvertis en boîtes de nuit. Mais à quand les vols réguliers avec DJs inclus ?

Grèce : les taxes d’aéroport supprimées

La galère financière dans laquelle les Grecs sont enfoncés favorise des initiatives plutôt bienvenues pour aider la croissance du pays. Ainsi le gouvernement grec a récemment décidé de suspendre les taxes aéroportuaires pour attirer les touristes.

Aegean Airlines

Cette décision a été prise par le Ministère des infrastructures, des transports et des communications pour des voyages compris entre le 1er avril et le 31 décembre 2011. Cette levée des taxes concerne tous les aéroports à l’exception de celui d’Athènes, Elefterios Venizelos.

La première mesure visant à augmenter la croissance touristique cette année a été de diminuer la T.V.A qui est aujourd’hui à 6,5% au lieu de 19% pour les séjours.

Les révolutions du monde arabe ou encore les risques nucléaires au Japon contribuent à faire de la Grèce une destination prisée cette été. Cette baise de la T.V.A et la suppression des taxes aéroportuaires aideront sans doute les futurs vacanciers à se diriger sans problème vers la Grèce.

En 2012, c’est l’Everest !

Il y a certaines choses qui ne s’achètent pas. Pour l’Everest, il y a désormais Terre D’aventure. Le voyagiste initiera dès 2012 une série d’expéditions vers la plus célèbre des chaînes de montagnes : l’Himalaya ! Son plus haut sommet, qui culmine tout de même à 8848 mètres, a pour nom l’Everest.

Toujours plus haut

Une ascension vers les sommets rendue possible par des passionnés qui tentèrent pour la première fois l’expérience en 1992. Ces trois clients privilégiés (et, on peut l’imaginer, issus d’une sélection draconienne), accompagnés de deux guides locaux, eurent la chance de toucher du bout des doigts le ciel tibétain. Un exploit renouvelé depuis par des centaines de globe-trotters, mais qui constituait à l’époque un pas initiateur vers un nouveau tourisme : celui de l’aventure en toute liberté.

Le premier escaladeur de l'Everest

67 ans après

Les puristes pardonneront volontiers la mauvaise qualité du cliché, qui, en effet, date de l’an de grâce 1953. Pour les autres, il faudra recadrer dans le temps l’exploit de l’homme ci-représenté. Entre la guerre d’Indochine et celle de Corée, Sir Edmund Hillary s’est faufilé à travers les pentes abruptes d’une montagne et qui n’était autre que l’Everest. En compagnie du Sherpa Tensing, le Néo-Zélandais fut le premier aventurier à atteindre le toit du monde, bien que l’on puisse supposer que de nombreux Tibétains aient réalisé cette prouesse avant lui.

Les paysages du Tibet

Frénésie aventurière

Alors que le vingt-et-unième siècle avait un temps semblé imposer l’oisiveté comme le maître mot de la planète tourisme, les expéditions au bout du monde, en pleine nature, semblent se refaire une jeunesse, reconquérant le coeur des voyageurs, de 7 à 77 ans. A ceci près que du 2 avril au 31 mai prochains, l’excursion ne sera pas à portée du premier venu. Six clients triés sur le volet devront s’acquitter d’une coquette facture de 45 500€ avant de pouvoir prétendre réaliser l’exploit. A ce prix, l’oxygène est fourni, au même titre qu’un Sherpa pour chacun. Pour le reste, l’ascension requerra, comme à l’accoutumée, d’excellentes qualités physiques, à savoir de l’endurance, de la puissance et de la résistance aux conditions extrêmes. Le mental jouera lui aussi un rôle déterminant : ces 6 héros d’un nouveau genre devront jouer d’abnégation et d’une grande motivation, pour marcher sur les traces de l’illustre Hillary.

Pour mener tout ce petit monde vers l’apogée d’une vie, un coordinateur chef d’équipe nommé Laurent Vivien-Raguet. A ses côtés, sept Sherpas, dont trois ont déjà escaladé l’Everest dans son intégralité. Pour en savoir plus, il suffit de vous rendre sur le site Internet dédié au projet.

Mondial du tourisme : le monde s’invite à Paris

Entre couleurs, saveurs , cultures et folklores des quatre coins de la planète, le monde s’expose à Paris jusqu’au 20 mars 2011. Le rendez-vous est donné au Parc des Expositions de la Porte de Versailles aux professionnels et aux particuliers pour promouvoir des destinations et des concepts de voyage pour tous les goûts durant ce mondial du tourisme.

Plus de 450 exposants tiennent en ce moment leurs stands. Les tours opérateurs (Fram, Marmara, etc.), les compagnies aériennes (Air Asia, Turkish Airlines entre autres), les offices du tourisme de divers pays, les professionnels de l’hébergement et les douanes, tous les acteurs du tourisme sont présents pour renseigner les voyageurs et leur donner des idées pour leurs prochaines vacances.

Des espaces dédiés sont mis à l’honneur :  les stands de voyages insolites proposent différents concepts comme la Soirée bus, la ferme aventure-nuits insolites, Parisien d’un jour-Paris Greeter ; le Village conseils s’attache à renseigner les touristes afin de leur éviter les arnaques et orienter chaque personne vers le voyage qui lui convient comme le CETO, Association des tours opérateurs ou encore l’Association Tourisme et Handicaps  et bien d’autres ; le pôle du tourisme responsable s’attache à sensibiliser les voyageurs à la préservation de l’environnement et au respect des cultures locales ; un grand espace thalasso  s’expose pour renseigner tous les amoureux des voyages ayant trait aux soins et au bien-être, sans oublier l’espace gay et lesbien qui présente les acteurs du tourisme gay et gay-friendly.

Plusieurs animations dynamisent ce salon. Des écrivains spécialisés dans le voyage viennent présenter leurs ouvrages aux journalistes de France Info, devant un public curieux, des groupes musicaux introduisent les rythmes de leur pays sur une scène spécialement prévue à cet effet et les stands de nourriture du monde attirent les visiteurs en masse.

Nous ne pouvions assister à ce mondial du tourisme sans aborder la question du tourisme au Maghreb, récemment secoué par une vague révolutionnaire, ou encore les catastrophes naturelles et nucléaires qui bouleversent le Japon.

Les professionnels du voyage en Tunisie et en Égypte tentent de relancer un tourisme qui a été bien moribond dans leur pays durant plusieurs semaines de désertion due aux risques sécuritaires. On nous assure que tout va bien, que tout rentre dans l’ordre et que les touristes reviennent lentement mais sûrement. En Égypte, la place Tahrir devient un symbole, un lieu de pèlerinage pour toute personne éprise de liberté. Elle est exploitée pour attirer les touristes qui veulent sentir les ondes positives et enthousiasmantes d’une liberté fraichement acquise.

Quant au Japon qui devait initialement s’exposer, un grand mur blanc fait office d’accueil. Pas de stand, pas de représentant du Japon, le message est clair : le Japon est en deuil. Ce mur blanc à lui seul transmet une forte émotion aux visiteurs du salon qui sont invités à inscrire un message de soutien au peuple japonnais qui est en train de vivre l’un des pires moments de son histoire. Très vite le mur se noircit de messages de soutien dans lesquels on loue leur grand courage et leur sang froid.

Vous l’aurez compris, un mondial du tourisme riche en animations et en émotions.

Nous mettrons en ligne très prochainement le reportage et les photos que notre équipe a réalisé sur le salon.

JO 2012 : réservez vos billets !

C’est maintenant ou jamais ! Depuis ce matin, la billetterie officielle des Jeux de Londres 2012 est ouverte à tous ceux qui seront, du 27 juillet au 12 août de l’année prochaine, les spectateurs d’un événement planétaire qui n’a lieu que tous les quatre ans : les JO d’été.

En 2000, Sydney avait organisé les JO

Réserver efficace

Ce qui fut valable pour les précédentes olympiades le sera d’autant plus pour l’échéance londonienne. Tout le monde aura à cœur d’obtenir un sésame malheureusement disponible en quantité limitée : des places pour assister aux cérémonies ou encore aux épreuves. Comme le hasard ne fait pas tout, avant de réserver vos tickets sur le site officiel ou grâce à l’agence de voyages officielle de ces Jeux Olympiques, voici quelques conseils qui pourraient même vous permettre d’accéder au très prisé Club France, où vous aurez peut-être la chance de vous entretenir avec des athlètes de la délégation tricolore.

Dans un premier temps, comment allez-vous vous rendre à Londres ? Si vous privilégiez la voie aérienne, n’oubliez pas notre comparateur de vols. Dans le cas où vous opteriez pour l’Eurostar (un moyen de transport qui permet d’effectuer le trajet Paris-Londres en 2 heures et 30 minutes), sachez que les réservations s’ouvriront en juin prochain.

Varier les plaisirs

Quand on aime, on ne compte pas : les JO, ce sont pas moins de 26 sports qui offrent un éventail de 39 disciplines déclinées en 645 sessions, certaines se déroulant dans des cadres privilégiés (le beach-volley à Buckingham Palace, par exemple). Pourtant, il vous faudra faire un choix. Or, choisir, c’est renoncer. C’est pourquoi, dans votre quête de places rares et donc assez onéreuses (quoique l’on en trouve à partir de 20£), il vous faudra alterner les épreuves (ne vous bornez pas sur une discipline particulière, même si l’athlétisme et la natation sont les sports les plus suivis au cours de ces deux semaines de compétition) et parfois préférer les qualifications aux finales.

Attention, à l’image des ventes aux enchères, commander des billets n’est pas un jeu ! Il faudra non seulement vous acquitter des frais contractés, mais aussi prévoir un budget transport assez conséquent pour vous déplacer d’une enceinte à l’autre. En effet, certaines épreuves concomitantes dans le temps ne le sont pas dans l’espace ! En d’autres termes, vous devrez vous déplacer pour suivre un match de football après une séance athlétisme. Quoi qu’il en soit, ne perdez pas de vue le calendrier des épreuves, que vous pourrez consulter sur le site officiel de Londres 2012.

Bonne chance aux Bleus !

C’est au programme

C’est sûr, vous n’aurez que l’embarras du choix pour encourager les athlètes français. Dès le 29 juillet, la génération vieillissante mais toujours aussi solide des Experts entrera en compétition. Les frères Gille, Nikola Karabatic, Thierry Omeyer et consorts feront tout pour asseoir encore un peu plus leur domination sur la planète handball.

Le lendemain, 30 juillet, vous pourrez suivre les exploits de la « guêpe » Laura Flessel et de sa compatriote Maureen Nissima à l’épée.

Auparavant, durant toute la première semaine (à compter du 28 juillet), vous aurez certainement suivi les exploits de nos nageurs. Camille Lacourt en dos, Alain Bernard et Yannick Agnel en nage libre… et pourquoi pas le retour de Laure Manaudou, reine des jeux d’Athènes 2004.

Le deuxième semaine marquera notamment le début des épreuves de judo, à partir du 3 août. En catégorie poids lourds, ne manquez pas l’ultra-favori, Teddy Riner. Le même jour, nos gymnastes entreront en piste. En chef de file, Thomas Bouhail tentera de surfer sur la vague de son succès aux championnats du monde de Rotterdam, qu’il a brillamment dominés de la tête et des épaules, en novembre dernier.

Pour conclure cette quinzaine  sur une dose d’adrénaline, le vététiste Julien Absalon tentera d’empocher un nouveau titre olympique. Pour lui, le jour J sera le 12 août.

Alors que toute notre équipe s’associe pour encourager les athlètes tricolores, il ne reste qu’à vous déclamer l’éternel refrain que vous entendrez presque incessamment : à vos marques, prêts, partez ! Pour vous aider dans vos démarches, quoi de mieux que notre guide de Londres, fraîchement publié ?