Viagra et Everest : grimper plus haut !

Ce n’est pas une blague, ni un mauvais jeu de mot. Fin mai, des alpinistes britanniques qui escaladeront l’Everest, avaleront des pilules de Viagra… pour leurs vertus d’oxygénation !

Les médecins expliquent que celui-ci permettra de dilater les vaisseaux sanguins des poumons, favorisant ainsi la circulation sanguine et donc l’oxygénation.

A haute altitude, la quantité d’oxygène dans le sang peut baisser très fortement et gêner les grimpeurs. Le Viagra devrait les aider à mieux respirer.

Quand aux effets connus des petites pilules bleu, les médecins assurent que tant qu’ils se concentrent sur leur objectif sans penser au sexe, ‘il ne devrait pas y avoir de problèmes ».

Souhaitons leur une bonne ascension… et d’atteindre l’Everest avec succès !

Le sommet de l'Everest

Vacances : 7 conseils pour faire des économies

Et le voyageur se retrouva fort dépourvu quand l’heure de payer fut venue. Ceci n’est pas un conte de fées. Au contraire. Parcourir le monde a bien un prix, avec ou sans cette fameuse carte bancaire dont on taira le nom. Alors, quand on n’est pas le plus fortuné des globe-trotters, comment composer avec les exigences budgétaires ? Voici 7 conseils qui pourraient bien s’avérer salvateurs.

La montagne sous le soleil

En hiver, les stations de ski font monter les prix. C’est un fait, indéniable et parti pour durer. Aussi, préférez vous éloigner un instant de la masse, pour parcourir monts et vaux en saison estivale (ou tout du moins quand la saison de ski est terminée). A l’endroit même où les skieurs s’en donnent à cœur joie entre novembre et avril, des pistes de VTT et de randonnée pédestre ouvrent la voie aux aventuriers qui en ont dans les chaussettes. Réserver hors saison, c’est vraiment s’épargner le sacrifice monétaire.

Aruba, Bonaire, Curacao : réviser son alphabet

L'île d'Aruba est un petit paradis

Toujours hors saison, en visitant l’archipel des Caraïbes, on se retrouve parfois confronté à des phénomènes climatiques comme les cyclones et les ouragans. Si cette zone dans son ensemble reste une destination déconseillée durant cette saison, l’été est bien plus calme dans le coin d’Aruba, Bonaire et Curacao, îles situées en dehors du périmètre touché par les vents.

Le tout-en-un : (ne) peut (pas) mieux faire

Même si l’envie de voler des vos propres ailes vous fait réfuter l’idée de voyager en groupe ou d’opter pour un séjour organisé, prendre un package incluant vol aller-retour, chambre d’hôtel et pourquoi pas voiture de location, vous reviendra bien moins cher que de tout réserver à part.

Les oiseaux ne s'attendaient pas à une marée noire
Plus près, moins cher

La Sécurité routière aurait-elle fait un tabac avec ses slogans ? Ce qui est sûr, c’est que les petites excursions font les grandes économies. Avant d’aller voir trop loin, concentrez-vous sur les alentours. Dans les environs de votre hôtel, à quelques kilomètres à la ronde, il y a généralement de nombreux endroits à découvrir. Il n’est nullement question de se restreindre, mais simplement de penser local. Pour faire des économies, bien entendu.

Quand on arrive en ville…

Une excursion estivale vers une grande métropole peut s’avérer bon marché. Il faut profiter de l’exil des locaux, des hommes d’affaires tout particulièrement, pour prendre leur place dans les hôtels. Toutes les chambres laissées vacantes doivent être occupées au plus vite, sous peine, pour les établissements, de voir baisser leur chiffre d’affaires. Une aubaine pour les voyageurs aoûtiens : les prix baissent en conséquence !

De la flexibilité

Quoi qu’il en soit, sachez que rien n’est impossible. Tout peut changer d’un jour à l’autre. C’est pourquoi il vous faudra faire preuve d’une ingéniosité doublée de prévoyance. La compétition qui fait rage entre les sites de vente flash ne pourra jouer qu’en votre faveur. Soyez donc à l’affût de leurs promotions ponctuelles.

S’inscrire à la newsletter de PartirDemain !

Pour la route, cette petite dernière n’est pas de trop. Rappelez-vous : PartirDemain est toujours là pour vous ! Chaque jeudi, c’est la valse des bons plans ! Pour rester au courant de l’actualité du monde des voyages et faire partie des chanceux qui partiront à petit prix, il suffit de trente secondes : le temps de s’inscrire à notre newsletter.

Google Maps : les favelas de Rio dérangent

Le week-end dernier, le quotidien brésilien O Globo se plaignait de la place trop importante qu’occupent les favelas de Rio de Janeiro sur les cartes Google Maps. Mardi, Google annonçait que les cartes allaient être corrigées dans les prochains mois.

Les favelas de Rio de Janeiro sur Google Maps

A Rio de Janeiro, près d’un tiers de la population, soit 2 millions de personnes, vit dans les favelas. Ces bidonvilles brésiliens sont un véritable fléau, un fléau qui apparemment dérange… pour l’image de la ville !

Dans les cinq prochaines années, le Brésil sera à deux reprises au cœur de la vie médiatique et sportive. Le pays sud américain accueillera la Coupe du Monde de football en 2014, puis les Jeux Olympiques en 2016. Les yeux seront rivés sur le pays alors il faut faire bonne impression.

D’après le journal, le carte de Google Maps « réduisait Rio à un ensemble de favelas » et risquait de donner « une fausse impression » de la ville. De son côté Google a expliqué manquer d’informations.

D’ici six à douze mois les cartes seront donc revisitées : avant de voir les favelas apparaître en zoomant, l’utilisateur verra d’abord le nom des quartiers, puis des sous-quartiers et des rues, considérées comme les « informations les plus importantes ».

Une décision qui révèle un peu plus le clivage richesse/pauvreté dont souffre le Brésil.

Les favelas et la ville de Rio de Janeiro

Les lieux les plus préservés de la planète

L’Homme a marqué sa présence dans bien des endroits du monde. Mais il reste autour du globe, des lieux intactes à nos artifices. Petit tour des 10 coins les plus purs de la Terre, de véritables merveilles…

La Namibie – Située au sud de l’Afrique, la Namibie déroule des paysages sauvages à perte de vue. Avec 2,5 habitants au km2, c’est l’un des trois pays au monde où la population humaine est la moins dense. Cela laisse la place à de nombreux animaux, rendant le décor encore un peu plus sauvage. Les dunes de sables rouges qui plongent dans l’océan coupent le souffle des voyageurs ébahis.

Dunes rouges de Namibie

Les îles Galápagos – Les dix-neuf îles Galápagos se trouvent au large de l’Amérique du Sud, dans l’Océan Pacifique. La réserve marine et la parc national des Galápagos sont inscrits au patrimoine mondial de l’Unesco. Le nombre d’espèces marines qui y vit en fait un site exceptionnel. Cet environnement unique a vu se développer des espèces originales comme la tortue géante et l’iguane terrestre.

Pelican des îles Galapagos

Papouasie – Nouvelle-Guinée – Cette contrée lointaine située au nord de l’Australie et à l’est de l’Indonésie est l’un des endroits les moins explorés de la planète, et aussi l’un des plus rural. D’après les scientifiques, la jungle de Papouasie Nouvelle-Guinée regorge de trésors : des plantes et espèces animales encore inconnues de l’homme.

Paysages verts de Papouasie Nouvelle-Guinée

Les Seychelles – Dans l’océan Indien, à 1000km au nord-est de Madagascar, 115 îles et îlots forment l’archipel des Seychelles. A l’intérieur des terres, une végétation luxuriante fleurit. Sur les côtes, le sable blanc s’étend devant les lagons bleu azur.

Plage des Seychelles

Le Bhoutan – Le Bhoutan est un pays de montagnes et forêts situé en Asie du sud-est. C’est un territoire peu exploré dont l’accès a été restreint aux touristes pour préserver les traditions et la religion. Une particularité originale : le Bhoutan a laissé le PIB de côté pour le remplacer par le BNB, le bonheur national brut.

Village perché du Bhoutan

Le Parc National de Daintree – Situé à l’extrême nord du Queensland, l’état du nord-est de l’Australie, le parc national de Daintree est essentiellement occupé par une forêt tropicale humide. Le site est classé au patrimoine mondial de l’Unesco. Des arbres gigantesques, des lianes et des tapis de fougères parmi lesquels se promènent des bêtes sauvages en tout genre. La forêt de Daintree est l’un des plus vieux écosystèmes du monde.

Foret tropicale de Daintree

Le Fiordland en Nouvelle Zélande – Sur la côte ouest de l’île du sud de Nouvelle-Zélande, se dresse un paysage sauvage où aucune trace de l’Homme n’est perceptible. Même les Maori n’ont que foulé ce sol par intermittence pour chasser, pêcher et collecteur la précieuse pierre de jade. Avec des souffles venant de l’Antarctique, même l’air y est l’un des plus purs de la planète.

Le Fiordland de Nouvelle-Zelande

Le Kamchatka en Russie – La péninsule de Kamchatka, à l’extrême est de la Russie, est une étendue de paysages sauvages et vides de toute habitation. La presqu’île est conne pour ses glaciers et ses volcans, dont certains font partie du patrimoine de l’Unesco. Bordé à l’Est par l’océan Pacifique et à l’ouest par la mer d’Okhotsk, la péninsule a souvent été secouée par de forts séismes.

Le Kamchatka en Russie

Le désert d’Atacama au Chili – Le désert d’Atacama est décrit comme l’un des paysages les plus étranges de notre planète. Sa haute altitude et son ciel dégagé (sans nuages ni pollution lumineuse) en font une terre de prédilection pour les observations astronomiques.

Le Désert d'Antacama au Chili

L’Antarctique – Le continent du pôle Sud est véritablement une terre – ou plutôt une glace – intacte aux traces de l’Homme. En dehors des scientifiques de passage, l’Antarctique ne compte aucun habitant. 96% du continent est couvert d’une épaisse couche de glace. Pingouins, baleines et phoques gravitent autour du continent le plus froid de la Terre.

Antarctique

Lufthansa casse les prix pour l’Asie

On en rêvait, ils l’ont fait. C’est aussi simple que cela. Pour la compagnie allemande Lufthansa, rien n’est impossible, pas même afficher des promotions rarement vues sur des vols à destination du continent asiatique.

L'aéroport de Delhi, en Inde

Pékin à moins de 400€

Et ce n’est pas la seule surprise au programme. Vous avez bien lu. Ceci n’est ni un canular, ni une erreur de la banque. Toutefois, les tarifs pratiqués par la Lufthansa joueront bien en votre faveur. Si l’idée de vous envoler vers Pékin pour 399€ aller-retour, taxes comprises, vous séduit, le catalogue de la Lufthansa est fait pour vous. En ce joli mois de mai, l’offre concerne toutes les réservations effectuées avant mardi prochain minuit. Au départ de nombreuses villes de France (Paris, Marseille, Lyon, Nice, Strasbourg et Toulouse), les Airbus de la compagnie décolleront à destination de Beijing, Nanjing, Shanghaï et Singapour. Pour ces quatre destinations, l’opération débutera le 15 mai et se prolongera jusqu’aux derniers vols du 30 juin.

Jamais sans mon Inde !

La rigueur allemande a parlé. Pas question pour la Lufthansa de se cantonner au territoire chinois. Le géant des airs va voir plus loin, jusque là où portent ses hublots. Et c’est en terre indienne que ses appareils atterriront, entre le 15 mai et le 31 août. L’aller-retour depuis Paris sera alors à 499€ seulement, que vous vous rendiez à Bangalore, Bombay, Calcutta ou Delhi. La seule ombre au tableau, ce fameux slogan dont on se passerait volontiers : « offre valable dans la limite des stocks disponibles ».

Information : droits du voyageur européen

Saviez-vous qu’en cas de perte, de dommages causés à vos bagages ou de retard dans leur livraison lors d’un trajet en avion, vous avez le droit à une indemnisation qui peut aller jusqu’à 1 220 euros ? Saviez-vous également que lors d’un retard de plus d’une heure lors de votre voyage en train, la compagnie est tenue de vous offrir repas et rafraîchissements ?

Malgré le développement de la mobilité en Europe au cours des trente dernières années, comme beaucoup de voyageurs, vous ne connaissez probablement pas bien vos droits et les recours possibles en cas de problème.

Pour pallier ce manque d’information, la Commission Européenne diffuse actuellement la campagne « Vos droits de passagers en main », diffusée en 23 langues, dans les gares et aéroports des états membres de l’union européenne et par le biais d’un site internet.

Transport aérien, ferroviaire, en car, par voie fluviale… Selon votre moyen de transport, vous aurez ainsi une information claire sur vos droits à l’intérieur de l’Union Européenne, que cela soit en cas de refus d’embarquement (dans le cas d’un surbooking par exemple), d’annulation, de retards excessifs, de perte ou de dommages causés à vos bagages ou encore de manque de transparence dans les prix.

affiche campagne UE
Le site consacre également une rubrique aux droits des personnes à mobilité réduite, qui doivent bénéficier d’une assistance et de l’accessibilité au moyen de transport choisi, sans discrimination.

Sachez enfin que si vous estimez vos droits bafoués et que vous n’êtes pas satisfaits des réponses apportées par la compagnie, la gare ou l’aéroport, vous pouvez contacter un des Organismes nationaux d’exécution, dont vous trouverez la liste sur le site.

E-tourisme : il faut améliorer l’intuitivité des sites

Le constat est sans appel : les sites d’e-tourisme souffrent cruellement d’un manque de praticité dans leur utilisation. A l’heure où le chiffre d’affaires de ce secteur est en pleine santé avec un taux de croissance prévu de 20% sur les deux prochaines années (Source : FEVAD), de gros efforts sont donc encore à fournir.
 
5,2/10
Triste note… C’est ce que révèle une étude de l’observatoire de l’e-performance de Yuseo, agence d’études et de conseil en ergonomie des interfaces. 1 200 internautes ont en effet été appelés à tester la recherche et la réservation de voyages à l’étranger sur huit grands sites (Nouvelles Frontières, Thomas Cook, Marmara, Fram, Go Voyages, Lastminute, Opodo et Promovacances). Bilan : un taux de réussite de 53 % dans leurs tentatives et un score de satisfaction globale de 5,2/10.
 
Des sites mal organisés
Selon le panel d’utilisateurs, l’information disponible est étouffée par un trop grand nombre d’offres au milieu desquelles on finit par se perdre. En effet, 48% seulement des tâches à effectuer aboutissent. Parmi les principaux points à incriminer, la mauvaise organisation qui engendre une difficulté à trouver l’information ainsi que le manque de plaisir à naviguer. Les internautes ont également constaté que les conditions d’annulation d’un voyage manquaient de clarté et n’étaient pas complètes.
 visuel-illustratif
Un enjeu crucial
L’enjeu est pourtant de taille dans un secteur aussi concurrentiel que celui-ci. Les sites risquent de voir leur image dégradée par la mauvaise expérience des utilisateurs et au final de perdre des clients. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : le pourcentage d’internautes disposés à commander une fois l’expérience de navigation réalisée passe de 62 à 38 %…
 
Serait-ce l’heure pour de petits outsiders soucieux du confort de leurs internautes de faire leur place dans le dur monde de l’e-tourisme ? Chez PartirDemain, on y travaille… Et vous, que pensez-vous de l’ergonomie de notre site ?